Une enquête sur le bénévolat
Un groupe d’étude de l’université britannique Exeter a publié un rapport selon lequel la santé des personnes qui dédient une partie de leur temps libre au bénévolat, est en moyenne meilleure du reste de la population. Cette affirmation qui souligne la majeure longévité des bénévoles s’ajoute à celle faite par les chercheurs de l’université de Pittsburgh il y a quelques mois concernant le risque d’hypertension qui peut baisser jusqu’à 40% parmi les plus âgés. La raison principale est probablement une notion plus approfondie des facteurs qui favorisent la longévité, un style de vie plus sain et une réduction du stress. À l’échelle mondiale, le pource
entage des bénévoles adultes est de 22,5% en Europe, 36% en Australie et 27% aux Etats- Unis. Au Canada, le nombre des bénévoles (13 millions en 2010) croît plus rapidement que la population et selon une enquête conduite par l’Institut de statistique de ce pays, on commence à faire du bénévolat parce qu’on connaît quelqu’un qui en fait déjà ! La France compte 16 millions de bénévoles, dont la plupart possèdent au moins un BAC et un revenu mensuel plut haut que la moyenne nationale. En synthèse, le bénévolat est une « syndrome » merveilleusement virale, nécessaire pour augmenter la solidarité communautaire, qui nous fait du bien en faisant du bien aux autres.
entage des bénévoles adultes est de 22,5% en Europe, 36% en Australie et 27% aux Etats- Unis. Au Canada, le nombre des bénévoles (13 millions en 2010) croît plus rapidement que la population et selon une enquête conduite par l’Institut de statistique de ce pays, on commence à faire du bénévolat parce qu’on connaît quelqu’un qui en fait déjà ! La France compte 16 millions de bénévoles, dont la plupart possèdent au moins un BAC et un revenu mensuel plut haut que la moyenne nationale. En synthèse, le bénévolat est une « syndrome » merveilleusement virale, nécessaire pour augmenter la solidarité communautaire, qui nous fait du bien en faisant du bien aux autres.
